• Mes recherches et mon expérience lors de mes stages me permettant d'enrichir ma réponse à la question

     

    Vocabulaire

    v   

        Média : procédé permettant la distribution, la diffusion ou la communication d’œuvres, de documents, ou de messages sonores ou audiovisuels (presses, cinéma, affiche, radiodiffusion, télédiffusion, vidéographie, télédistribution, télématique, télécommunication).

    v   Multimédia : ensemble des techniques et des produits qui permettent l’utilisation simultanée et interactive de plusieurs modes de représentation de l’information (textes, sons, images fixes ou animées).

    v     Sociologie : étude scientifique des sociétés humaines et des faits sociaux.

    Source : Attiogbé, M et al. Larousse.fr : encyclopédie et dictionnaire (en ligne). < https://www.larousse.fr/portail/> (page consultée le 23/04/20).

     

    Jacques Ardoino et le concept de sociologie

     

    Eléments théoriques tirés du PowerPointMes recherches et mon expérience lors de mes stage me permettant d'enrichir ma réponse à la question

    Jacques Ardoino est un psychosociologue et consultant à l’UNESCO (Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture). 

    Pour lui, la complexité scolaire s’organise selon 6 niveaux formant une grille allant du point le plus précis qui est la personne vers le point le plus large qui est la société.

    1.      L’individuel

    Dans ce niveau, on se centre sur les caractéristiques individuelles de la personne : le conflictuel, l’individualisme, les traits de caractère, les besoins, les aptitudes et attitudes. Tout cela va permettre de se donner un avis sur la personne. Par exemple : « bon » ou « mauvais » élèves ou professeurs. On s’interroge ici sur la façon dont chacun(e) intériorise ou non les normes sociales. C’est la nature de la personne qui est à l’origine de problèmes et des pistes de solutions.

    Le relationnel 

    Ce niveau concerne les relations interpersonnelles, « bilatérales » entre les personnes impliquées. Par exemples : les relations entre les élèves au sein d’une classe qui peuvent être de la complicité ou engendrer des conflits.

    Le groupal 

    Dans ce niveau, on retrouve les phénomènes de groupe. Par exemple : dans un travail de groupes à l’école, nous pouvons observer différents phénomènes dans ceux-ci tel que le rôle des enfants au sein du groupe dans lequel ils se trouvent (leader, bouc émissaire, édifie ses règles, s’il y a une création de sous-groupes…). C’est le domaine de la psychosociologie.

    L’organisationnel

    Dans ce niveau, on ne parle plus de dimension affective mais d’acteurs, de conflits, de coopération, de relation de pouvoir et d’enjeux. C’est la sociologie des organisations et de l’action collective. Par exemple : au sein d’une classe, la cause du fait qu’un élève soit turbulent est la décision de répartition des élèves entre différentes classes et que celui-ci ne se retrouve pas avec son meilleur ami. De ce fait, ce n’est pas l’enseignant seul qui va régler ce problème avec l’enfant mais bien la direction de l’établissement dont le niveau de pouvoir est supérieur qui va intervenir.

    L’institutionnel

    Dans ce niveau, on se préoccupe des rapports organisations/société. C’est de la macrosociologie. Par exemple : lorsqu’un enfant est inscrit dans une école, il s’impose à l’organisation et aux règles de l’établissement scolaire fondées sur des règles de la société.

    L’historicité

    Ce niveau est la transformation de la société qui évolue comme par exemple la venue du processus d’industrialisation ay XIXème siècle.

    Mes recherches et mon expérience lors de mes stage me permettant d'enrichir ma réponse à la question

    Source : www.users.skynet.be/gerard.pirotton

    Mes recherches et mon expérience lors de mes stage me permettant d'enrichir ma réponse à la question

     

    Mon point de vue (analyse critique)

     

     
    Je comprends bien l’évolution du passage d’un niveau à l’autre. Elle est pour moi cohérente. Cependant, je ne suis pas entièrement d’accord avec le niveau sur l’individuel. En effet, dans notre carrière, il est important de se centrer sur les caractéristiques individuelles de l’enfant mais celles-ci ne doivent pas nous permettre de le catégoriser sur le fait que ce soit un « bon » ou « mauvais » élève. Son comportement, ses aptitudes… peuvent parfois indiquer un mal être qu’il ne souhaite pas exprimer ou une difficulté cachée quelle qu’elle soit ne reflétant pas ainsi l’enfant tel qu’il est vraiment. Pour moi, il ne faut pas catégoriser de « bon » ou « mauvais » qui que ce soit. On peut un jour avoir un mauvais comportement sans pour autant être un « mauvais » élève et inversement. 

    Ce que je retiens pour ma pratique personnelleMes recherches et mon expérience lors de mes stage me permettant d'enrichir ma réponse à la question

    Nous sommes une personne avec nos propres traits de caractère permis tant d’autres dans la société. Nous créons des relations avec les personnes qui nous entourent en ayant parfois un rôle particulier lorsque nous sommes dans un groupe (leaders, suiveur...). Une mauvaise organisation peut avoir des impacts sur notre caractère ne reflétant pas qui nous sommes vraiment. Il est important de retenir aussi que la société dans laquelle nous vivons dispose de règles que nous devons respecter. 

     

    Petite Poucette, livre de Michel Serres

     

     

    Éléments clés tirés de la vidéo

    Mes recherches et mon expérience lors de mes stage me permettant d'enrichir ma réponse à la question

    La couverture du livre est un dessin de deux mains dont deux doigts sont prêts à se toucher. Les mains sont représentées à l’aide de codages afin d’exprimer le nouveau monde qui est soumis au numérique, dominé par ceux-ci.

    Avant l’invention de l’imprimerie, les historiens devaient tout savoir par cœur mais après, ils ont préféré avoir une tête bien faite qu’une tête bien pleine.

    Toutes nos ressources sont concentrées dans les médias et multimédias.

    La différence entre les anciens et nouveaux médias est que les anciens médias rendent les usagers passifs tandis que les nouveaux les rendent actifs. 

    Le problème pour l’enseignant c’est qu’il doit s’adapter. En effet, les élèves ont une facilité d’accès à l’information. C’est pourquoi, l’enseignant doit tenir compte que l’enfant a déjà peut être eu accès à l’information avant. De ce fait, la nature des cours est en train de changer.

    Source :  Michel Serres. (20 septembre 2013). Petite Poucette.  https://www.youtube.com/watch?v=ICd38oRfoHU <page consultée le 23/04/20>.

     

    Mes recherches et mon expérience lors de mes stage me permettant d'enrichir ma réponse à la question

     

    Mon point de vue (analyse critique)

     
    Je suis d’accord avec Michel Serres, je trouve aussi que le numérique nous rend actifs. En effet, la facilité d’accès à l’information nous permet d’être volontaire dans nos recherches car sur internet, on est quasi sûr de tout trouver et ce en un rien de temps. De plus, internet nous donne divers supports par rapport à nos cherches que ce soit des photos, vidéos, descriptions, explications… Toutes les ressources se retrouvent dans un logiciel avec une utilisation assez simple au lieu de se déplacer en bibliothèque ou avoir de nombreux livres chez soi pour peut-être être utilisés une fois. Ce livre peut être un bon moyen pour les parents dépassés par l’évolution du numérique de le comprendre et réaliser l’importance de celui-ci dans le monde d’aujourd’hui.

     

    Ce que je retiens pour ma pratique personnelleMes recherches et mon expérience lors de mes stage me permettant d'enrichir ma réponse à la question

     

    Comme le numérique rend les personnes actives et donc les élèves, dans ma future classe, il y aura un coin avec quelques ordinateurs ainsi que des tablettes à disposition. Ainsi lorsque les enfants auront besoin d’informations, ils pourront se rendre dessus. Cela va leur permettre d’être chercheur et autonome dans leurs apprentissages et ils développeront davantage d’autres compétences afin d’utiliser l’ordinateur ou la tablette, chercher, trouver, trier le vrai du faux, comprendre les informations…

     

    Que dit le programme intégré par rapport au médias/multimédias

     

    Eléments théoriques tirés du programme intégré

    Mes recherches et mon expérience lors de mes stage me permettant d'enrichir ma réponse à la question

     

    Dans le programme intégré, on retrouve une partie nommée : « Education aux médias/multimédias ». A l’école, il est donc demandé aux enseignants de travailler, de développer des compétences relatives à ce sujet. Allons un peu plus loin découvrir ce qui se cache derrière cette belle couverture.

     

     

    Voici une vue globale. 

    L’éducation aux médias s’organise autour de trois grandes compétences d’intégration qui se déploient en compétences spécifiques organisées autour de 6 facettes propres à l’éducation aux médias/multimédia.

    Mes recherches et mon expérience lors de mes stage me permettant d'enrichir ma réponse à la question

     

    Dans la société médiatique d'aujourd'hui, l'élève doit être progressivement conduit à aborder un média en se posant six sortes de questions faisant référence aux 6 facettes ci-dessus.

    Mes recherches et mon expérience lors de mes stage me permettant d'enrichir ma réponse à la question

    Producteurs 

    Cette facette regroupe le monde de la production des messages médiatiques, des fabricants au diffuseurs. Qui ? Comment ? Avec quels objectifs ? Dans quel contexte produit-on ?

    Exemple d’activité :

    Donner une BD aux enfants et leur demander de l’analyser.
    Qui l’a écrit ?
    Quelles technologies ont été utilisées ? (l’imprimerie ?)
    D’où la BD vient-elle ?
    Quelles sont les sources ?
    Etc.
    Langages  

    Cette facette concerne tous les langages qui recourent au visuel et au sonore. Ils peuvent être pris individuellement ou être coordonnés. La méthode d’approche doit être basée sur la déconstruction, la construction et la comparaison.

    Le langage, c’est la communication verbale ou non-verbale comme par exemples la langue, le langage des signes, la musique, etc. Deux langages peuvent être utilisés conjointement comme par exemple l’auditif et le visuel afin d’être mieux compris.

    Technologies

    Cette facette reprend les procédés techniques et les appareillages utilisés. Deux niveaux sont à aborder.

    1Connaitre et utiliser les technologies d’usage courant.

    2.  Comprendre les grandes technologies médiatiques.

     Nous pouvons faire un parallèle avec les producteurs : quelle technologie utilisée ?

    Représentations 

    Les médias et multimédias représentent plus que la réalité qu’ils reflètent. Cette facette désigne à la fois les représentations de la réalité contenues dans un document et l’effet que ce document peut avoir sur les représentations psychosociales du public.

    Exemple :

    Une affiche d’invitations qui invite les personnes à une soirée de fin d’études à réalité. Lorsque les individus voient l’affiche, ils ressentent de la joie, se projettent ou ne se projettent pas à impact du document sur nos représentations.

    Publics

    Cette facette concerne l’identification des publics « ciblés » par les médias et le multimédia ainsi que la place que chaque spectateur occupe dans le groupe-cible. Elle concerne également la manière dont le spectateur reçoit les messages médiatiques et leur donne un sens personnel.

    Exemple :
    A qui est destiné le document ?
    Quelles sont les adaptations que je vais faire pour adapter ce document au public visé ?

    Catégories

    Afin de mieux discerner ce qui est proposé par les médias et le multimédia, cette facette suggère le regroupement des documents médiatiques selon différentes catégories suivant leur contenu, leur genre, leur fonction, le type de public, etc.

    Exemple :
    le regroupement de documents médiatiques en fonction du genre, de certaines catégories : le journal télévisé.

    Source : Fédération de l’Enseignement Fondamental Catholique, Programme intégré adapté aux Socles de compétences, Bruxelles, 2010.

     

    Mon point de vue (analyse critique) 

    Mes recherches et mon expérience lors de mes stage me permettant d'enrichir ma réponse à la question

     

    Je trouve que le programme est un bel outil facile à utiliser. De plus, même si un enseignant ne sait pas quoi faire avec les enfants au niveau des médias/multimédias, le programme propose des exemples d’activités pour chaque compétence.

    En développant les médias/multimédias en 6 facettes claires, il permet d’effacer les mauvaises images mentales de ce que sont réellement les médias/multimédias car on a tendance à dire que c’est utiliser une tablette, un ordinateur… mais non ce n’est pas que ça, c’est bien plus large ! De plus, il ne faut pas forcément de matériel coûtant cher (tablette…) pour travailler les médias/multimédias en classe, ce que le programme précise bien. Tout enseignant sait travailler l’éducation aux médias/multimédias dans sa classe.

     Ce que je retiens pour ma pratique personnelle

    Mes recherches et mon expérience lors de mes stage me permettant d'enrichir ma réponse à la question

     

    Le programme intégré est un outil à avoir dans sa classe permettant d’avoir de nombreuses idées sur comment travailler avec les enfants le domaine des médias/multimédias peu importe l’année, en faisant référence à des éléments de la vie de tous les jours qui nous entourent. 

     

    Conférence : l’école de demain (Nacy Brousseau)

     

    Eléments théoriques tirés de la conférence

    ·     Le monde dans lequel nous vivons change, évolue très vite. C’est pourquoi, il faut préparer les jeunes au futur inconnu en s’adaptant et apprenant car ils devront continuellement apprendre face aux changements.

    ·      Les jeunes connaissent un monde avec Internet alors pour que l’école face sens aux enfants, elle doit suivre ce monde où la connectivité est présente sinon cela engendre une grosse chute de motivation chez les élèves.

    ·         Ce que les jeunes veulent à l’école, c’est d’être actif.

    v  Avoir des responsabilités.

    v  Avoir du choix.

    v  Avoir des défis.

    v  Travailler à des projets.

    v  Créer, participer, s’exprimer, partager.

    v  Suivre leurs intérêts, passions.

    à Ce que l’on a vu en profondeur au cours de pédagogie avec madame Gillard.

    ·        Les bases de l’école établies au début du 20ème siècle ne sont plus d’actualité.

    Un modèle industriel :

    v  Linéaire

    v  Conforme

    v  Unique

    v  Standardisé (programmes + évaluation)

    ·        Raison d’être de l’école.

    v  Avant, l’école était un endroit où trouver le savoir par l’enseignant et par les manuels.

    v  Maintenant, il y a deux changements majeurs : l’accessibilité et la quantité d’informations.

    ·         L’éducation, un domaine qui bouge lentement.

    ·        Grande question : « Le système est-il au service de la pédagogie ou la pédagogie est-elle au service du système ?

    ·         Comment l’enfant apprend-t-il ? Surement autrement aujourd’hui.     

    Mes recherches et mon expérience lors de mes stage me permettant d'enrichir ma réponse à la question

    Cliquez sur l'image.

    ·      L’enfant a le droit de se tromper pour apprendre ce qui lui permet de ne plus avoir peur de lever son doigt et donc de participer.

    ·    La salle de classe encourage l’enseignement magistral. Besoin : l’adapter au modèle « Apprendre ensemble avec les technologies ».

    ·         Pédagogie : modèles

           Des pistes pour l’enseignant.

    v  Etre un apprenant modèle :

    o   Découvrir et apprendre avec ses élèves.

    o   Tenir ses connaissances et compétences à jour.

    v  Se réseauter

    o   Partager des bonnes pratiques.

    o   Se remettre en question.

    v  Adapter ses pratiques et son rôle.

    o   Enseignement.

    o   Evaluation.

    v  Faire entrer le monde dans sa classe.

    v  Proposer du travail significatif pour les Es.

    v  Personnaliser l’apprentissage

    à Il faut préparer les élèves aux attentes de l’école actuelle et aux réels besoins pour le monde extérieur.

    ·         Pédagogie : l’évaluation

    v  Revoir son rôle.

    v  Évaluer ce qui est considéré comme vraiment important.

    v  Avoir une nouvelle attitude envers l’erreur.

    ·         Technologie : outils et infrastructure

    v  Outils Fournis ou BYOD.

    v  Infrastructures : réseau ou stockage.

    v  Formation des enseignants.

    à Quelle est la classe idéale pour « Apprendre ensemble avec les technologies ? »

    ·        Organisation : temps et espace 

    v  Aménagement qui facilite les échanges.

    v  Environnement modulaire.

    v  Lieu optimal pour utiliser la technologie : Internet accessible sans fil et les élèves peuvent apporter leur propre appareil numérique (BYOD).

     

    Source : Nancy Brousseau. L’école de demain dès aujourd’hui. Collège Regina Assumpta. < https://www.youtube.com/watch?v=Z-Y5D8G5itw> 18 janvier 2013.

     

    Mes recherches et mon expérience lors de mes stages me permettant d'enrichir ma réponse à la question 

    Mon point de vue (analyse critique)

     

    Je peux constater que pas mal de points abordés dans la conférence ont été développés lors du cours de pédagogie avec madame Gillard.
    àL’école qui change, rendre l’enfant acteur de ses apprentissages, la classe inversée, l’évaluation, les technologies …
    Je suis bien d’accord avec ces points que j’ai pu remarquer et développer lors de mes stages.

    Un point de la conférence m’a vraiment interpellé et quand j’y pense, je me dis « Ha oui, c’est vrai ça ! » Ce point est le fait que les enfants d’aujourd’hui ont grandi avec les nouvelles technologies et Internet. Quand on y réfléchit, c’est vrai que pour faire sens aux élèves et donc aux apprentissages, nous enseignants, devons nous adapter dans le monde dans lequel ont évolué les élèves de notre classe afin que l’école ne soit pas un monde totalement à part du monde réel dans lequel ces enfants vivent. De plus, dans de nombreux métiers, les technologies sont fortement utilisées. C’est pourquoi, selon moi, donner une base aux élèves afin de ne pas être perdu par la suite est très important. C’est donc un apprentissage essentiel pour l’avenir de nos élèves. 

    Je suis mitigée sur un point qui est le BYOD ou AVAN autrement dit, le fait d’apporter son propre appareil numérique en classe.

    Grands éléments positifs :

            L’enfant connait et sait utiliser son appareil.

         - Il est peut-être adapté à l’enfant.

         - Aide l’enfant dans ses difficultés d’apprentissage.

            

    Élément négatif : la discrimination.

    ·         L’enfant n’a pas d’appareil numérique chez lui.

    ·         Comparaison : taille, marque …

    ·         Moi j’ai le mien, toi tu dois utiliser la tablette de la classe (exemple).

    ·        

    Parfois, déjà en première primaire, les élèves comparent leur mallette, plumier… Du coup, je pense que cela peut avoir également un impact. Pistes de solutions pour éviter la discrimination en classe :

    ·         Expliquer à la classe pourquoi un tel enfant doit avoir une tablette (exemple) pour travailler. Ainsi, les autres élèves comprennent et il n’y a pas d’injustice du type « Lui il a une tablette et pas moi ».

    ·         Chaque élève possède une tablette (exemple) mise à disposition par l’école. Ainsi, tous les enfants ont le même appareil numérique donc plus de comparaison mais c’est la manière de l’exploiter et de l’utiliser qui va permettre de les différencier.

     

    Ce que je retiens pour ma pratique personnelle

    Mes recherches et mon expérience lors de mes stages me permettant d'enrichir ma réponse à la question

     

    Il faut s’adapter au monde dans lequel vivent les enfants afin que l’école leur fasse sens. Un monde où la technologie fait partie de leur quotidien.

    Il faut utiliser les technologies en classe afin que les élèves apprennent les bases (au minimum) qui leur seront nécessaires dans leur avenir, leur futur.

    Il faut faire attention à la discrimination lors de l’apport d’un appareil personnel numérique en classe.

     

    Article de Monique Baus « Pourquoi y a-t-il une pénurie d’enseignants alors que le métier n’a jamais autant attiré ? »

    Eléments clés tirés de l’article

    Mes recherches et mon expérience lors de mes stages me permettant d'enrichir ma réponse à la question

    Dans l’officiel, les élèves ont perdu six semaines de cours, selon leurs parents. Pourquoi ?

    Un sondage a été réalisé par la Fédération des associations de parents de l’enseignement officiel dans cinq cents familles du primaire et du secondaire officiels et le résultat indique une perte de six semaines de cours par an.

    Une autre enquête a été menée par le Service général d’inspection dans des écoles secondaires tous réseaux confondus et le résultat est la perte de cinq semaines de cours par an dont deux liées à l’absence du titulaire de classe.

    Il n’y a pas de crise des vocations

    La situation ne s’arrange pas, les élèves sont privés de beaucoup trop de cours. Le constat est que le métier est pointé par un manque d’attractivité même si les statistiques disent le contraire. En effet, le nombres de jeunes inscrits aux études pédagogiques ne fait qu’augmenter, de même pour le nombre de diplômé.

    Une forme de précarité

    Les deux urgences du moment sont d’améliorer les conditions de travail et d’accompagner les nouveaux enseignants qui arrivent dans les écoles afin que ceux-ci restent. Malgré tout, les départs prématurés des nouveaux enseignants n’expliquent pas pourquoi autant de cours cherchent aujourd’hui un professeur.

    Les politiques très généreuses

    On peut constater que le nombre d’enseignants a évolué plus vite que le nombre d’élèves. Mais, les gouvernements ont pris de nombreuses mesures pour augmenter l’encadrement des élèves : encadrement différencié, périodes complémentaires pour les élèves de première et deuxième primaires, dispositif d’inclusion, etc. De ce fait, l’offre ne parvient pas à combler la demande.

    Source : Monique. Baus. Pourquoi y a-t-il une pénurie d’enseignants alors que le métier n’a jamais autant attiré ? La Libre. 07 février 2020.

    Mes recherches et mon expérience lors de mes stages me permettant d'enrichir ma réponse à la question

     

     

    Mon point de vue (analyse critique)



     

    Suite à mon vécu lors de mes stages, je peux dire que : oui améliorer les conditions de travail serait une bonne chose car il y a beaucoup trop d’inégalités d’une école à l’autre. Accompagner les nouveaux enseignants pourrait être une bonne idée afin de trouver peut-être plus facilement une place fixe mais aussi ne pas les décourager face à de nombreux remplacements avant d’obtenir celle-ci.

    On sait désormais que tous les enfants sont différents ce qui a permis de changer la manière d’enseigner et donc de pratiquer la différenciation face aux difficultés des enfants. C’est une très bonne chose, selon moi, que les gouvernements ont augmenté les mesures d’encadrement des élèves, leur permettant d’évoluer selon leurs propres difficultés d’apprentissage (individualisation).

    Ce que je retiens pour ma pratique personnelleMes recherches et mon expérience lors de mes stages me permettant d'enrichir ma réponse à la question

     

    Suite à la prise de conscience que chaque enfant soit différent, avec des difficultés différentes et qu’il faut s’adapter à chaque enfant en différenciant les apprentissages. Les gouvernements ont pris des nouvelles mesures d’encadrement des élèves, ce qui permet d’avoir une demande d’enseignants supérieure à l’offre malgré l’augmentation croissante de nouveaux enseignants diplômés par rapport au nombre d’élèves inscrits dans les écoles. 

     

    Modèle SAMR de Ruben Puentedura

     

    Eléments théoriques tirés de l’article

    Tout d’abord qui est Ruben Puentedura ?
    C’est le fondateur et président d'Hippasus, une société de conseil basée dans l'ouest du Massachusetts, spécialisée dans les applications transformatrices des technologies de l'information à l'éducation.

    Le modèle SAMR est un outil réflexif élaboré par Ruben Puentedura qui permet de mieux saisir comment la technologie peut avoir un réel impact sur l’enseignement et l’apprentissage.

    SAMR = Substitution – Augmentation – Modification – Redéfinition.

    Mes recherches et mon expérience lors de mes stages me permettant d'enrichir ma réponse à la question

    La substitution

    Définition 
    La technologie est utilisée pour effectuer la même tâche qu’avant.

    Exemple
    L’élève utilise un traitement de texte au lieu d’un crayon pour écrire un texte.

    à Il n’y a donc pas de changement fonctionnel dans l’enseignement ou l’apprentissage et donc de gain réel à tirer de la technologie.

    Augmentation

    Définition
    L’information propose un outil plus efficace pour effectuer des tâches courantes.

    Exemple
    L’enseignant crée une évaluation formative sur Google Drive ou Socrative et il demande aux élèves d’y répondre en ligne.

    àIl y a un avantage fonctionnel puisque l’évaluation est en ligne. Ainsi, les élèves et l’enseignant peuvent obtenir une rétroaction immédiate permettant aux élèves de s’engager davantage dans leurs apprentissages.

    Modification

    Définition
    Il s’agit de la première étape qui mène vers une transformation de la salle de classe. Les tâches scolaires ordinaires sont réalisées grâce à la technologie.

    Exemple
    Les élèves sont invités à rédiger une dissertation sur le thème « Mes croyances sont.. ». Ce travail se fait sur Google Drive et l’enseignant a accès aux travaux en cours d’écriture. L’élève doit réaliser un enregistrement audio de l’essai en y ajoutant une musique libre de droits. L’enregistrement sera joué devant un vrai public (élèves, enseignants, parents).

    à Il y a un changement fonctionnel. En effet, tous les élèves acquièrent des compétences d’écriture similaires, la réalité d’un vrai public donne à chacun un intérêt personnel dans la qualité du travail. La technologie est nécessaire dans cette classe puisque celle-ci permet l’évaluation par les pairs et l’enseignant, elle facilite la réécriture et elle permet l’enregistrement audio. 

    Redéfinition 

    Définition
    La technologie informatique permet de nouvelles tâches qui étaient impossibles auparavant.

    Exemple
    Un enseignant demande aux élèves de créer un documentaire vidéo répondant à une question essentielle liée à des concepts importants du cours. Des équipes d’élèves prennent en charge différents aspects de la question et collaborent pour créer un produit final. Les équipes doivent communiquer avec des sources externes d’information et la vidéo sera publiée sur le blogue de l’école.

    à La technologie est un soutien pour centrer l’élève vers son apprentissage.

    Objectif principal : engager l’élève dans son apprentissage afin qu’il soit signifiant.

    Source : Sébastien Wart. Le modèle SAMR : une référence pour l’intégration pédagogique des tics en classe.  Article. (9 septembre 2013, mis à jour le  27 septembre 2019).

     

    Mes recherches et mon expérience lors de mes stages me permettant d'enrichir ma réponse à la question

     

    Mon point de vue (analyse critique)

     

    Je trouve cet outil intéressant, simple et clair. Il permet à l’enseignant d’analyser comment il utilise la technologie (de manière efficace et intéressante ou non) et savoir ainsi dans quelle partie il se trouve (substitution, augmentation, modification ou redéfinition). Mais aussi de voir les apports de celle-ci (changements fonctionnels). De plus, ce modèle est un moyen pour faire ressortir les avantages et impacts de la technologie en général. Il faut que la technologie signifie quelque chose dans l’apprentissage de l’enfant.

     

    Ce que je retiens pour ma pratique personnelleMes recherches et mon expérience lors de mes stages me permettant d'enrichir ma réponse à la question 

    Il existe un modèle servant d’outil réflexif qui permet à l’enseignant de savoir comment utiliser la technologie dans sa classe afin que celle-ci ait une signification dans l’apprentissage de l’élève. C’est pourquoi, j’ajouterai dans le programme intégré à la partie éducation aux médias/multimédias ce modèle.

     

    Mes découvertes au cours d’informatique

     

    Le robot Beebot

    Beebot est un robot éducatif programmable manuellement à l’aide de boutons et facile à utilisé. C’est un chouette outil pour enseigner les mouvements, l’estimation, notion liée à l’espace, la résolution de problèmes… C’est apprendre la programmation en s’amusant. Ce robot est utiliser avec les plus jeunes enfants.

    Mes recherches et mon expérience lors de mes stages me permettant d'enrichir ma réponse à la question

    Le robot Thymio

    Thymio est un robot éducatif plus complexe programmable manuellement ou à distance via un programme sur ordinateur ou tablette. Son objectif est de permettre aux enfants de se familiariser avec l’ingénierie, la programmation, la pensée informatique ou encore la robotique.

    Mes recherches et mon expérience lors de mes stages me permettant d'enrichir ma réponse à la question

    Mes recherches et mon expérience lors de mes stages me permettant d'enrichir ma réponse à la question

    Programmer avec le programme sur ordinateur Aseba

    Mes recherches et mon expérience lors de mes stages me permettant d'enrichir ma réponse à la question

    Mes recherches et mon expérience lors de mes stages me permettant d'enrichir ma réponse à la question

    Le robot Webo 

    A l’aide de legos, on sait construire différents robots Webo. Ceux-ci sont programmable via un programme sur l’ordinateur ou tablette en associant différents éléments de programmation permettant à celui-ci d’effectuer différentes tâches. 

    Mes recherches et mon expérience lors de mes stages me permettant d'enrichir ma réponse à la question

    EtiGliss

    EtiGliss est une application sur tablette numérique Android spécifiquement conçue pour répondre aux besoins des enseignants du fondamental dont le travail se base sur une gestion d’étiquettes aussi nombreuses que diversifiées. Elle permet à l’enseignant de créer très rapidement des exercices au lieu de passer son temps à imprimer, découper, plastifier et ranger les séries d’étiquettes.

    Padlet

    Padlet est un mur virtuel sur lequel on peut afficher toutes sortes de documents afin de diffuser, partager : textes, images, enregistrements audios, vidéos, pages internet. Nous avons utilisé un mur Padlet lors de quelques cours afin de récolter des informations venant de nombreuses personnes. Ainsi, nous pouvons lire les différentes réponses ensemble en direct.

    Mes recherches et mon expérience lors de mes stages me permettant d'enrichir ma réponse à la question

    Scratch

    Scratch est un langage de programmation graphique manipulable et exécutable par un logiciel de même nom à vocation éducative. Ainsi, Scratch est à la fois un environnement de développement et un moteur d'exécution du langage Scratch mais aussi un site web.

    Mes recherches et mon expérience lors de mes stages me permettant d'enrichir ma réponse à la question

    Mon vécu lors de mes stages

     

    Utilisation du TBI

    Durant mon cursus à la Haute école, j’ai eu l’occasion lors d’un stage en bac 2 en 6ème primaire de travailler avec un TBI dans la classe au lieu d’un tableau à craies. J’ai trouvé ça génial parce que je savais faire énormément de choses et ce en un rien de temps. Projeter la feuille donnée aux enfants sur le tableau ainsi, ils avaient plus facile à suivre et voir où noter quoi. De plus, je savais leur montrer des vidéos de synthèse de différentes matières mais aussi réaliser des intermèdes musicaux (chansons sur Youtube, Karaokés, etc) mais aussi visionner des documentaires avec les enfants, réaliser des savoir-écouter, dessiner des formes géométriques précises, etc. Ce fut un réel plaisir même si je sais que j’ai encore tellement de choses à découvrir !

    Mes recherches et mon expérience lors de mes stages me permettant d'enrichir ma réponse à la question

     

    La programmation d’un robot

    Lors de mon stage en bac 3 en 1ère primaire, durant 2 périodes, j’ai eu l’occasion avec les enfants de tester une activité à l’aide d’un robot « souris » qui est fort semblable au robot Beebot.

    Tout d’abord, nous avons découvert ce qu’était un robot.

    Ensuite, nous avons cherché ce que signifiait les différents boutons présents sur le robot « souris » en essayant chaque bouton et analysant ce qui se passait.  Une fois la légende trouvée, nous avons utilisé un vocabulaire adéquat pour chaque bouton. 

    Mes recherches et mon expérience lors de mes stages me permettant d'enrichir ma réponse à la question

    Flèche bleue = avancer
    Flèche jaune = reculer

    Flèche orange = tourner d’un quart de tour vers la gauche
    Flèche mauve = tourner d’un quart de tour vers la droite
    Rond vert = démarrer
    Rond rouge = stop
    Rond jaune = effacer la programmation enregistrée 

    Durant cette étape, nous avons découvert ce qu’était un robot, la signification des différents boutons tout en faisant référence à du vocabulaire et qu’il fallait programmer le robot pour qu’il effectue un trajet/parcours.  Afin de bien comprendre le rôle du robot, le rôle du programmateur mais aussi mémoriser les différents boutons, nous avons trouvé un langage par le corps qui permettait à un enfant de faire le robot et un autre le programmateur (formation de paires). Le programmateur appuyait sur différentes parties du robot et celui-ci devait mémoriser puis effectuer ce que le programmateur lui avait demandé (maximum 3 informations à la fois et si ça allait, on complexifiait en ajouter des informations).

    Langage définit ensemble :

    Toucher le front = avancer

    Toucher l’arrière de la tête = reculer

    Toucher l’épaule gauche = tourner d’un quart de tour vers la gauche

    Toucher l’épaule droite = tourner d’un quart de tour vers la droite

    Toucher le dessus de la tête = démarrer le robot

    Toucher le ventre = réinitialiser le robot (effacer la programmation enregistrée)

    Toucher le dos du robot = arrêter le robot

    Après quelque temps, inversion des rôles.

    Voici quelques photos prises durant l’activité.

    Mes recherches et mon expérience lors de mes stages me permettant d'enrichir ma réponse à la questionMes recherches et mon expérience lors de mes stages me permettant d'enrichir ma réponse à la question

     

     

     

     

     

     

     

    Mes recherches et mon expérience lors de mes stages me permettant d'enrichir ma réponse à la question

     

     

    Mes recherches et mon expérience lors de mes stages me permettant d'enrichir ma réponse à la question

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Une fois que tous les enfants étaient passés par les deux jeux de rôle, on s’est assis en cercle et j’ai demandé à un enfant d’envoyer le robot (qui était placé devant lui) à une autre personne du cercle.  L’enfant ayant bien compris précédemment qu’il fallait programmer le robot, programme celui-ci pour l’envoyer à une autre personne. Et ainsi de suite pour que chaque enfant puisse essayer. Durant les essais, on corrigeait ensemble les erreurs s’il y en avait. L’erreur la plus fréquente était l’oubli de réinitialiser la souris avant d’effectuer un autre trajet/parcours.

    Dernière petite activité, un tapis en mousse sur lequel était tracé un quadrillage se trouvait au centre du cercle.  Premièrement, les enfants étaient libres de faire aller le robot sur le tapis afin de voir que si on appuie une seule fois sur la flèche bleue, le robot avançait d’une seule case (par exemple). C’était ici, l’étape pour se familiariser avec le robot dans le quadrillage. Deuxièmement, je plaçais des bandes de papiers permettant de former un parcours dans le quadrillage au bout duquel était placé un fromage (une image) et à l’autre extrémité du parcours se trouvait le robot « souris ». Un élève essayait de programmer le robot « souris » afin que celui-ci arrive sur le morceau de fromage. Deux possibilités, soit programmer d’un seul coup le robot permettant de réaliser en une fois le trajet ou faire étape par étape.  Si l’enfant se trompait ou éprouvait des difficultés, les autres l’aidaient. Au fur et à mesure, les parcours se complexifiaient. 

    Mes recherches et mon expérience lors de mes stages me permettant d'enrichir ma réponse à la question

    Mes recherches et mon expérience lors de mes stages me permettant d'enrichir ma réponse à la question

     

    Étant donné que les enfants ont adoré, j’ai laissé mon matériel dans un coin de la classe ainsi lors de l’autogestion ou lorsque quelques enfants avaient terminé plus tôt, ils avaient l’occasion de s’exercer en créant eux–mêmes des parcours pour ensuite programmer le robot pour réaliser ceux-ci.

    Analyse réflexive suite à l’activité donnée en première primaire

    C’était une activité que j’ai beaucoup aimée donner. Les enfants étaient vraiment volontaires, motivés avec un bel investissement et participation de leur part. Ils n’avaient jamais eu l’occasion d’essayer un robot de ce type à l’école (le numérique n’étant pas favorisé dans cet établissement scolaire). Ce fut donc une belle découverte pour eux.

    Si je devais redonner cette activité, je modifierai deux choses. Tout d’abord, je ne prendrai pas toute la classe mais je diviserai celle-ci en deux groupes. Un groupe avec moi et l’autre en travail autonome et puis on inverserait. A cet âge là, certains enfants ont encore parfois du mal avec le partage et le fait d’attendre son tour. De plus, il est aussi parfois difficile de rester assis en cercle autour du tapis sans se pencher vers l’avant gâchant la vue d’autres camarades qui alors rouspètent. Je pense que moins d’élèves, limiterait ces petits soucis.  Ensuite, j’insisterai beaucoup plus sur le fait que l’on doit se mettre à la place du robot, dans le même sens, regardant dans la même direction car cela a posé problème pour quelques enfants lorsqu’il fallait tourner à gauche ou à droite durant les exercices.

    Par rapport au modèle SMAR, je pense que l’on peut dire que c’est de la substitution car l’enseignant pourrait très bien prendre un personnage (exemple) que les élèves déplaceraient manuellement dans un quadrillage en verbalisant les différentes étapes de leur démarche. 

    Exemple montrant la substitution :

    ·         Avec le personnage + verbalisation orale 

    J’avance de trois cases le personnage (en même temps l’enfant effectue trois bons en avant avec le personnage à l’aide de sa main). Ensuite, je fais faire au personnage ¼ de tour vers la droite (l’enfant tourne avec sa main le personnage d’1/4 de tour).  Et enfin, j’avance mon personnage de cinq cases (en même temps l’enfant effectue cinq bons en avant avec le personnage à l’aide de sa main). Le personnage est arrivé à sa maison.

     ·         Avec le robot 

    J’appuie trois fois sur la flèche bleue qui signifie avancer. Ensuite, j’appuie une fois sur la flèche mauve qui signifie tourner d’1/4 de tour vers la droite puis j’appuie cinq fois sur la flèche bleue qui signifie avancer et enfin j’appuie sur le bouton jaune pour que le robot effectue le parcours programmé afin d’arriver jusqu’au fromage.

    à L’intention, l’objectif est le même dans les deux cas qui est de déplacer un objet d’un point A à un point B en utilisant les notions suivantes : avancer, reculer, gauche, droite.  Cependant, dans mon activité, il y avait un plus qui était le fait de comprendre ce qu’était un robot et savoir programmer celui-ci.

     

    Article du Flair sur les femmes et le numérique

     Mes recherches et mon expérience lors de mes stages me permettant d'enrichir ma réponse à la question

     Éléments clés tirés de l’article  

    v  Les femmes peinent à trouver leur place dans la programmation alors que la première programmeuse était une femme (Ada Lovelace).

    v  Préjugé : programmation ou codage = UN geek.

    v  Aujourd’hui la programmation devient incontournable dont 9 jobs sur 10 nécessitent celle-ci.

    v  La programmation fait partie de notre quotidien pour de très nombreuses choses : d’une machine à café à une voiture, d’une application pour smartphone à un escalator…

    v  Les femmes représentent 13% des travailleurs dans tout ce qui touche à des compétences informatiques. Suite aux préjugés, beaucoup de femmes abandonnent le fait de se lancer dans le domaine de l’informatique. Le but d’aujourd’hui est donc de casser les codes afin d’avoir une mixité équivalente dans ce domaine.

    v  Il est possible d’apprendre la programmation à l’école ou chez soi en autodidacte via des écoles en ligne, des sites, des vidéos…

    v  5 raisons pour lesquelles on devrait toutes se mettre à coder : 

    - En Europe en 2025, on estime 700 000 nouveaux emplois dans les domaines du numérique.

    - Ça nous offre des possibilités professionnelles supplémentaires.

    - Apprendre à programmer, c’est apprendre à structurer son raisonnement et sa logique, à développer des stratégies de résolution de problèmes et à être inventif.

    - Le codage ne demande ni lieu de travail fixe, ni bureau.

    - Le codage s’apparente à un jeu et peut rapidement devenir un défi hyper ludique.

     Source : Le codage, c’est pour les filles aussi ! Flair.be

     Mes recherches et mon expérience lors de mes stages me permettant d'enrichir ma réponse à la question

    Mon point de vue (analyse critique)


    Cet article m’a permis personnellement d’ouvrir les yeux sur le fait que la programmation n’est pas juste pour des machines d’entreprises ou encore pour des personnes travaillant derrière un ordinateur mais bien que celle-ci est utilisée pour de nombreuses choses du quotidien auxquelles on ne pense pas forcément telle qu’une machine à café. 

    Je ne m’attendais pas à ce qu’il y ait autant de préjugés dans ce domaine ayant un impact important dans le choix de carrière de nombreuses femmes et ce que cela représente dans le monde du travail.

    Dans des publicités de jeux vidéo, des films ou dessins animés, c’est vrai, je suis d’accord que les geeks sont très souvent représentés par des personnes de sexe masculin. Cela crée donc un préjugé dans la société.

    Mes recherches et mon expérience lors de mes stages me permettant d'enrichir ma réponse à la question

     

    Ce que je retiens pour ma pratique personnelle

     

     

    Je retiens qu’il y a beaucoup de préjugés sur les femmes dans le domaine de l’informatique et que cela a un impact dans le monde du travail au niveau de la mixité. Mais aussi que la programmation fait partie de notre quotidien et est autour de nous dans de nombreuses choses auxquelles on ne pense pas toujours.

     

    Entre rondes familles et école carrée

    Eléments théoriques tirés du PowerPoint

    Mes recherches et mon expérience lors de mes stages me permettant d'enrichir ma réponse à la question

     

     

    Livre

    Entre rondes familles et école carrée : l’enfant devient élève de Danielle Mouraux, édition de boeck.

     

     

    Analyse de ce schéma

    Mes recherches et mon expérience lors de mes stages me permettant d'enrichir ma réponse à la question

    4 idées pour bien comprendre ce schéma.

    1.   L’enfant n’est pas bipode mais tripode. Pour réussir ses apprentissages, il est appelé à articuler trois ancrages dans des milieux éducatifs diversifiés : la famille, l’école et un troisième milieu tels que les scouts, les stages…

    2.   Chaque ancrage est spécifique et doit pouvoir rester ce qu’il est et donner ce qu’il a. Il ne doit ni chercher à ressembler aux autres ni demander à l’autre de n’être pas ce qu’il est.

    3.  Le passage quotidien de l’école à la famille (les transformations quotidiennes élèves // enfants) est une opération dont la réussite varie selon le type de famille.

    4. Le passage peut être facilité par des pratiques enseignantes et/ou familiales appropriées. Mais il peut aussi être source de malentendus, de pièges, d’échecs. 

    à L’école et la famille sont deux registres qui ensemble vont permettre à l’individu de s’inscrire dans la société.

    La famille ronde

    Mes recherches et mon expérience lors de mes stages me permettant d'enrichir ma réponse à la question

    Afin de lire correctement les Mindmaps, cliquez sur les images.

    Les enfants apprennent en famille par des apprentissages complexes et sensés en observant, imitant et répétant par essai et erreur sans programme pré-établi.

    Mes recherches et mon expérience lors de mes stages me permettant d'enrichir ma réponse à la question

    L’école carrée

    Mes recherches et mon expérience lors de mes stages me permettant d'enrichir ma réponse à la question

    L’école éduque les enfants différemment de la famille. Elle organise et structure les savoirs à enseigner en discipline et en matières. Elle transmet les outils de l’écrit à de l’abstrait en utilisant une démarche réfléchie allant du simple vers le complexe.

    La société hexagonale

    Mes recherches et mon expérience lors de mes stages me permettant d'enrichir ma réponse à la question

    Un problème se pose

    Lorsque les acteurs (de la famille ronde et de l’école) ne répondent pas aux attentes les uns des autres.

    Pistes de solution :

    -    Scolariser les familles ? Non, ce serait irréaliste.

    - Arrondir les écoles pour pouvoir s’adapter au public ? Solution réaliste mais dangereuse car les élèves seraient réunis sur base de critères affectifs.

    -   Scolariser le passage enfant-élève en se transformant en apprenant, en changeant de culture, en acquérant un autre langage, en s’adaptant à la pédagogie scolaire, en changeant de position sociale.

    - Socialiser et culturaliser le scolaire. Être accueilli comme un travailleur, pouvoir utiliser ses nouveaux savoirs à la maison, disposer d’espaces-temps pour redevenir un enfant.

    Mes recherches et mon expérience lors de mes stages me permettant d'enrichir ma réponse à la question

     

    Mon point de vue (analyse critique)

     


    Je suis d’accord sur le fait que les enfants sont au centre de 3 grands milieux qui font partie de leur vie (la famille, l’école et la société). C’est en effet, pour moi, le milieu social dans lequel l’enfant vit qui va déterminer dans quelle catégorie de famille il se trouve (ronde, carrée ou hexagonale). Lors d’une remise de bulletin à laquelle j’ai pu assister c’est, je trouve, à ce moment-là qu’on sait bien voir dans quelle catégorie de famille se trouve l’enfant suivant la réaction des parents face aux résultats de leur enfant. 

    Je suis également d’accord sur le fait qu’il est peu probable de savoir changer l’être ainsi que sa culture familiale. C’est pourquoi selon moi, l’enseignant doit s’adapter et se rendre compte que des enfants présents dans sa classe font partis de ce 3 catégories de famille et qu’il est important de ne pas juger.

     

    Ce que je retiens pour ma pratique personnelleMes recherches et mon expérience lors de mes stages me permettant d'enrichir ma réponse à la question

    Je retiens de tout cela qu’on ne sait pas changer l’autre et sa culture familiale. En tant qu’enseignant, il faut s’adapter à avoir dans sa classe des enfants faisant partie des trois catégories de famille (ronde, carrée ou hexagonale) et que chaque famille a des attentes différentes de la part de l’école qui elle, est carrée avec des règles. Il faut aussi bien garder en tête que l’école est le lieu d’éducation ayant pour but de préparer les enfants à entrer dans la société. 

     

    L’école face à la précarité en Belgique

     

    Éléments clés tirés de l’article

    En Belgique

    Les résultats des enfants varient suivant la position socioéconomique ou l’histoire migratoire de la famille à ségrégation.

    Une opposition entre les élèves riches, autochtones et les élèves pauvres, issus de l’immigration.

    Les élèves issus de milieux défavorisés par rapport à l’école subissent l’effet négatif de leur origine et ont tendance à fréquenter une école qui les fera moins progresser.

    La gratuité scolaire est une priorité mais pas une réalité. Au lieu de vouloir résoudre la précarité, il faudrait plutôt éviter d’accentuer l’exclusion et continuer l’émancipation de tous les élèves.

    Répartir les frais scolaires sur une année pour les parents précarisés est culpabilisant car c’est un manque de moyens et non d’organisation.

    Le redoublement a un coût et il ne porte pas ses fruits sur le point de vue pédagogique.

    Des enfants sont dirigés vers un enseignement spécialisé alors que l’école « ordinaire » devrait pouvoir accueillir leurs difficultés. Dans l’enseignement spécialisé, les services d’une psychologue ou d’une logopède sont gratuits. Les moyens fournis dans l’enseignement spécialisé devraient également se trouver dans l’enseignement ordinaire (ex. : nombre d’élèves réduit, soutiens spécialisés, équipes de professionnels de formations différentes…).

    Il faut prendre conscience de la précarité et de la diversité en intégrant une pédagogie qui comprend, la rencontre et l’accueil des enfants issus de milieu précaire plutôt que de les exclure à réduire le décalage entre les codes et les attentes de l’école puis le milieu social de l’enfant.

    Les enseignants doivent approfondir la problématique de la pauvreté en rencontrant notamment les familles concernées afin de déconstruire leurs représentations.

    En Finlande

    Il n’y a pas forcément plus de richesse mais l’enseignement est excellent avec un enseignant proche de ses élèves. De plus, il y a des activités manuelles supplémentaires : coudre, scier du bois, ranger… Pour les cas particuliers, ils sont suivis par un enseignant spécialisé.

    Il n’y a pas de classement national ni d’évaluation.

    La formation d’enseignants est plus adéquate : 5 ans universitaires et une pratique dans les classes.

    Mots clés : raisonner les élèves, les rassurer, les écouter, les laisser prendre des décisions et coopérer.

    Le but de l’école est de préparer les enfants à la vie. Enseigner c’est donc faire preuve de tolérance, ne pas avoir d’idées raciales, comprendre les différences, entretenir une relation avec les autres et interagir. 

    Il n’y a pas d’enjeux politiques car même si le ministre change, l’enseignement ne varie pas.

    Mes recherches et mon expérience lors de mes stages me permettant d'enrichir ma réponse à la question

    Mes recherches et mon expérience lors de mes stages me permettant d'enrichir ma réponse à la question

     

    Mon point de vue (analyse critique)

     

    Je suis du même avis que très souvent la position socioéconomique ou l’histoire migratoire a un impact sur les résultats scolaires des enfants car bien souvent, personne ne sait les aider à la maison. Le suivi des parents n’est pas présent.

    Je suis d’accord sur le fait qu’il y a bien de la précarité en Belgique et il ne faut pas la nier.

    Je suis également d’accord avec tous les éléments de Finlande car c’est ce qui va arriver ici en Belgique dans nos classes. En effet, c’est ce que l’on apprend au cours de pédagogie lors de notre cursus de formation.

    Cependant, je suis en désaccord sur quelques points.

    Tout d’abord, l’opposition entre les élèves riches et les élèves pauvres. Je trouve qu’une mixité dans les écoles et donc dans les classes est présente sans avoir recours à une opposition quelle qu’elle soit.

    Ensuite, sur le fait que l’on envoie trop vite un enfant ayant des difficultés dans l’enseignement spécialisé. Je ne suis pas d’accord car pour entrer dans l’enseignement spécialisé de nombreux tests et facteurs sont pris en compte et non pris à la légère. De plus, durant notre formation à l’heure actuelle, on nous donne des moyens permettant d’aider les enfants éprouvants des difficultés pour ainsi les garder dans l’enseignement ordinaire. C’est pourquoi, il est important, selon moi, que les enseignants sur le terrain suivent des formations afin de se mettre à jour concernant les changements et nouveaux moyens à mettre en place.

    Et enfin, je ne suis pas d’accord avec le fait qu’il faudrait les mêmes moyens fournis dans l’enseignement ordinaire et spécialisé ou sinon quel serait l’intérêt d’avoir des écoles spécialisées ?

     

    Mes recherches et mon expérience lors de mes stages me permettant d'enrichir ma réponse à la question

    Ce que je retiens pour ma pratique personnelle

     

    Il faut prendre en compte que la précarité est présente et qu’il ne faut pas la nier car celle-ci a un impact sur les enfants mais aussi l’image des parents qui culpabilisent car c’est faute de moyens et non d’organisation. De plus, il faut aussi tenir compte de la position socioéconomique ou l’histoire migratoire car elle aussi a un impact sur les enfants plus précisément au niveau des résultats scolaires. 

    L’enseignement belge tend vers un mieux car on se rapproche petit à petit d'un enseignement semblable à celui finlandais. Preuve : l’enseignement finlandais est semblable à ce que l’on apprend à l’école Normale en Belgique lors du cours de pédagogie. En tant que future enseignante, je sais que je vais tendre vers le modèle d’enseignement finlandais comme appris lors de mes cours.

     

    Article de Clémence Boileau « L’ordinateur, un outil incontournable à l’école ? »

     

    Éléments clés tirés de l’article

    Mes recherches et mon expérience lors de mes stages me permettant d'enrichir ma réponse à la question

    L’enseignement francophone est à la traîne comparé à d’autres pays. Pour y remédier, pourquoi pas équiper chaque élève d’un ordinateur portable ? (Proposition de l’ASBL EducIT) Mais au détriment de la pédagogie et de l’environnement ?

    Pour Philippe Ophem, fondateur d’une ASBL EducIT, la réponse est OUI :Mes recherches et mon expérience lors de mes stages me permettant d'enrichir ma réponse à la question

    Un ordinateur utilisé dans de bonnes conditions par des professeurs formés est un formidable outils pédagogique.

    Les professeurs ont besoin d’un accompagnement car ils ont une appréhension à utiliser le numérique pour deux raisons : l’impression que les élèves sont plus compétents qu’eux et qu’il est très compliqué de mettre en œuvre une utilisation technique des outils numériques.

    L’utilisation d’un ordinateur est un regain de motivation pour les élèves car c’est un média qui leur parle.

    L’accès au numérique varie en fonction des moyens dont les gens disposent ou de la région où ils habitent.

    L’ordinateur le plus adéquat et moins coutant est le Chromebook.

    Pour Nico Hirtt, président de l’Aped (Appel pour une école démocratique), la réponse est NON :Mes recherches et mon expérience lors de mes stages me permettant d'enrichir ma réponse à la question

    L’enseignement est un processus qui nécessite une relation didactique entre l’enseignant et les élèves. Qui ne peut pas être remplacée par une relation entre l’individu et une machine.

    Croire que parce que chaque élève aura son ordinateur il sera plus motivé, je n’y crois pas du tout.

    Si l’élève doit être acteur de la construction de son savoir, cela ne veut pas dire qu’il doit être seul devant son écran.

    La construction du savoir est un processus collectif. Un processus qui se fait par l’échange entre un enseignant et un apprenant, ainsi qu’entre les apprenants eux-mêmes.

    Le numérique a des impacts sur l’environnement : on multiplie la demande en métaux rares, impact au niveau de l’énergie en terme d’émissions de CO2 et sur la consommation d’électricité mondiale qui atteint les 10% pour le numérique. 

    Source : Clémence Boileau. L’ordinateur, un outil incontournable à l’école ? 23 janvier 2020 

    Mes recherches et mon expérience lors de mes stages me permettant d'enrichir ma réponse à la question

     

    Mon point de vue (analyse critique)

     
    Je suis mitigée face à cet article dans lequel deux personnes donnent leur point de vue. Je trouve que ces avis sont très opposés avec une idée bien fixe sur le sujet sans peser le pour et le contre. Selon moi, il faudrait nuancer la réponse à la question en reprenant des idées de Philippe Ophem et de Nico Hirtt. Comme toute chose, il y a des points positifs et d’autres négatifs. Voici les éléments avec lesquels je suis en accord. Oui, l’ordinateur doit être utilisé comme un outils scolaire mais pour intégrer cet outil dans les écoles, une formation des enseignants est essentielle. Comme toutes sortes d’outils, il motivera certains enfants et d’autres pas du tout. Oui, le numérique à des effets sur l’environnement mais n’est pas pour une bonne cause ? Si la rentabilité et la durée de vie de cet outil est là, alors pourquoi pas ? Bien sûr que les interactions, les échanges entre les individus et donc entre enseignant – élève(s) et élève(s) – élève(s) sont très importants dans l’apprentissage scolaire. Pour conclure ce point, l’ordinateur devrait être (comme dit ci-dessus) un outil que les élèves pourraient utiliser lorsqu’ils en ont besoin, lorsque l’utilité est présente. J’insiste bien sur le mot outil (tel qu’un compas, une gomme…) c’est-à-dire qu’il n’est pas utilisé tout le temps par l’enfant mais il est utilisé quand même.   

    Ce que je retiens pour ma pratique personnelleMes recherches et mon expérience lors de mes stages me permettant d'enrichir ma réponse à la question

    L’ordinateur doit être utilisé comme un outil (utilisé quand l’enfant en a besoin, pas tout le temps pour permettre les échanges entre individus) par les enfants ce qui en motivera certains comme d’autres pas. Il est important d’en prendre soin afin qu’il dure le plus longtemps possible car cet outil a des impacts sur notre environnement.

    La mise en place d’ordinateurs dans une classe = une formation pour l’enseignant. Ces deux éléments qui l’un sans l’autre n’ont pas de sens doivent former une paire.

     

    Article de An.H « La Wallonie va accélérer le virage numérique de 500 écoles en 2020 »

     

    Éléments clés tirés de l’article 

    Mes recherches et mon expérience lors de mes stages me permettant d'enrichir ma réponse à la question

    En 2020, la Région wallonne va investir 8,9millions d’euros dans l’appel à projets « Ecoles numériques » en Wallonie pour 500 écoles.

    Les objectifs de cet appel sont :

    - inscrire des établissements dans une dynamique de transformation numérique.

    -accroitre l’exploitation transversale des technologies numériques.

    - accroitre le nombre d’enseignants impliqués dans les projets.

    - maximiser les bénéfices de l’apprentissage par la technologie.

    Les 500 écoles lauréates pourront compter sur des conseillers techno-pédagogiques mis à disposition par la Fédération Wallonie-Bruxelles ou la Communauté germanophone.

    Pour Willy Borsus (vice-président du gouvernement wallon et ministre du Numérique), l’école est le lieu et le moment où nous devons garantir à tous un même accès au savoir, au numérique comme outil d’apprentissage et canal universel d’accès à l’information. Il est aussi important d’associer au numérique la connexion wifi.

    Les 500 écoles lauréates seront soutenues par la fourniture de matériels numériques et de logiciels adaptés dans un catalogue prédéfini par la Wallonie : tableaux blancs interactifs, PC hybrides, robots, tablettes, Tv interactives…

    Cet appel à projets est ouvert à tous les établissements de Wallonie sauf ceux qui bénéficient déjà des projets en 2018 et en 2019.

    Tout projet devra s’inscrire "harmonieusement et durablement" dans le projet pédagogique de l’établissement, afin d’enraciner et de pérenniser des pratiques qui exploitent le numérique ou y éduquent.

     Source :  An.H. La Wallonie va accélérer le virage numérique de 500 écoles en 2020. 23 janvier 2020.

    Mes recherches et mon expérience lors de mes stages me permettant d'enrichir ma réponse à la questionMon point de vue (analyse critique)

     

    Je trouve que cet appel à projets est une chouette idée car il va permettre à des écoles de faire un bond en avant tout en donnant une chance à chacun. Cet appel à projet va permettre à des écoles plus défavorisées de se développer afin de tendre vers une équité.

    Comme l’a dit Willy Borsus, tout le monde a droit à avoir un même accès au savoir, à l’information et dans le monde d’aujourd’hui c’est le numérique qui est en première place. Je suis d’accord avec lui.

    En ce qui concerne le matériel proposé dans le catalogue pour les 500 écoles lauréates, il est riche, varié, avec pleins de fonctions possibles permettant de réaliser énormément de choses en classe avec les enfants (points très positifs).

     

    Mes recherches et mon expérience lors de mes stages me permettant d'enrichir ma réponse à la questionCe que je retiens pour ma pratique personnelle

     

    Je retiens qu’il existe des appels à projets permettant à des écoles de se développer, d’évoluer dans le domaine du numérique qui fait partie de notre quotidien. Il est donc important d’essayer et de participer car tout le monde a une chance et que la récompense à la clé est une belle opportunité à saisir. Un matériel proposé qui est riche et varié (tableaux blancs interactifs, PC hybrides, robots, tablettes, Tv interactives…) mais aussi des conseillers techno-pédagogiques mis à la disposition des écoles ce qui est un plus.

     

    Article de François Taddei « L’école doit nous apprendre ce que les machines ne savent pas faire ? »

    Éléments clés tirés de l’article

    Mes recherches et mon expérience lors de mes stages me permettant d'enrichir ma réponse à la question

    François Taddei est un chercheur interdisciplinaire en faveur d’approches éducatives innovantes.

    Suite aux révolutions technologiques ou biologiques, nous devons apprendre autrement et donc entre autre à l’école car si on apprend ce que les machines savent faire et sauront faire mieux que nous, elles nous remplaceront rapidement. Nous devons donc développer des capacités que les machines n’ont pas, ce que le système scolaire ne met pas en avant.

    Notre système n’a pas été pensé pour s’adapter à un monde qui change très vite. Il faudrait un système qui invite chacun de ses acteurs à contribuer au changement. Le système éducatif est très hiérarchique mettant en place une intelligence collective et n’investit pas suffisamment dans la recherche. Une intelligence collective = les individus apprennent les uns des autres en se demandant quelle est la meilleure manière de s’organiser pour mobiliser une intelligence au service des défis collectifs et individuels. Par exemple, la bibliothèque est une forme d'intelligence collective. Cependant, la société doit s’adapter aux potentialités et aux défis qui se présentent à elle (les technologies, le numérique).

    Appliquer les principes de l’entreprise à l’éducation = la catastrophe. Il faut faire passer aux étudiants le message du plaisir de l’apprentissage plutôt que de les laisser penser que suivre des études a pour but premier de décrocher un diplôme puis un emploi. Il faut étudier pour l’amour de la connaissance et pour devenir meilleur.

    Source : François Taddei. L’école doit nous apprendre ce que les machines ne savent pas faire ?  04 février 2020.

    Mes recherches et mon expérience lors de mes stages me permettant d'enrichir ma réponse à la question

     

    Mon point de vue (analyse critique)

     

    Les technologies et le développement du numérique dans les écoles commencent à se faire petit à petit dans tous les établissements et je trouve que tout d’abord, avant de chercher ce que les machines ne savent pas faire, il est important de bien les connaitre et les exploiter en profondeur. Par la suite, effectivement, afin que les machines ne nous remplacent pas, il faudra chercher les capacités dont elles ne disposent pas. 

    Je ne suis pas d’accord sur le fait que le système éducatif ne contribue pas suffisamment au changement car de nombreuses écoles essaient d’utiliser les nouvelles technologies en créant même des projets numériques (ce que j’ai pu constater lors de mes divers stages). Je trouve que l’école ne tend plus comme avant vers un système hiérarchique mais vers un système qui change et évolue suivant les changements apportés dans notre quotidien de vie. 

    Je suis entièrement d’accord avec le dernier point sur le fait qu’il faut faire des études par amour et non pour avoir un diplôme permettant d’obtenir un emploi futur.

     

    Mes recherches et mon expérience lors de mes stages me permettant d'enrichir ma réponse à la questionCe que je retiens pour ma pratique personnelle

     

    L’école doit s’adapter au monde qui change et évolue en étant toujours en recherche.

    Les établissements scolaires tendent vers le monde actuel en intégrant dans les classes les technologies, le numérique.

    On fait des études par amour et non dans le but d’avoir un diplôme donnant un emploi.

     

    Demain : bande annonce d’un film

     

    Vidéo

     

    Source : Mélanie Laurent. Demain : bande annonce. https://www.youtube.com/watch?v=BmTySqG7yf8. 2015.

    Ce que je retiens pour ma pratique personnelleMes recherches et mon expérience lors de mes stages me permettant d'enrichir ma réponse à la question

    La grande question à se poser est « Dans quel monde vivront nos enfants dans 40 ans ? »

    Répéter ne sert à rien, c’est pour cela qu’il faut essayer quelque chose de nouveau. Le numérique ?

    La seule et meilleure façon de convaincre, c’est de montrer l’exemple.

     

    Article de Monique Baus « Cette crise du coronavirus va faire gagner vingt ans à l’école numérique »

     

    Éléments clés tirés de l’article

    Mes recherches et mon expérience lors de mes stages me permettant d'enrichir ma réponse à la question

    Un débat a eu lieu le 29 janvier 2020 au Parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles dont l’objectif ressorti est d’assurer un équipement et une connexion minimale pour toutes les écoles.

    Wallonie : un ordinateur pour 9 élèves. Zone de Bruxelles : un ordinateur pour 11 élèves. Constat = pas assez d’ordinateurs dans les classes.

    Durant le confinement suite au coronavirus

    L’ordinateur permet de garder le lien entre les individus et donc d’avoir un apprentissage à distance.

    La crise permet de montrer et constater que beaucoup d’écoles sont encore démunies face au numérique.

    Des techno-pédagogues aident les enseignants en les écoutant, conseillant et les encourageant à distance.

    L’implication des enseignants est remarquable dans ce moment difficile. Ils essaient progressivement plus de choses pour aider au mieux les enfants dans leurs apprentissages à distance.

    Conclusion : cette crise va faire gagner vingt ans à l’école numérique. Le seul obstacle à dépasser est budgétaire.

    Source : Monique Baus. Cette crise du coronavirus va faire gagner vingt ans à l’école numérique. La Libre.be. 26 mars 2020.

    Mes recherches et mon expérience lors de mes stages me permettant d'enrichir ma réponse à la question

     

    Mon point de vue (analyse critique)

     

    Je suis entièrement d’accord que la crise du coronavirus va permettre un bon en avant car moi-même, j’ai appris de nouvelles choses telle que l’utilisation d’un site nommé Teams permettant de communiquer avec mes professeurs mais aussi mes camarades de classe (appels, vidéos, discussions écrites…). De plus, je me doute bien que les enseignants ont dû découvrir pas mal de choses en un rien de temps pour permettre des apprentissages à distance avec leurs élèves. Cette pandémie, elle nous a permis de se rendre compte de l'importance et de l'utilisation du numérique.

     

     Ce que je retiens pour ma pratique personnelleMes recherches et mon expérience lors de mes stages me permettant d'enrichir ma réponse à la question

     

    La crise du coronavirus a un impact positif sur l’évolution de l’utilisation du numérique chez les individus.

     

     

     Article de Monique Baus « Difficulté supplémentaire pour les parents. Source d’inégalités : l’école à domicile pose question »

     

    Éléments clés tirés de l’article

    Mes recherches et mon expérience lors de mes stages me permettant d'enrichir ma réponse à la question

    Des parents se plaignent des travaux à réaliser avec les enfants car cela prend des heures. De plus, avec le télétravail, combiner les deux est très compliqué.

    Inégalités au niveau du matériel que possède les familles et de la disponibilité des parents pour leur(s) enfant(s).

    Une pression supplémentaire : rien n’est obligatoire dans ce que les enseignants envoient mais on se sent obligé de le faire.

    Source : Monique Baus. Difficulté supplémentaire pour les parents. Source d’inégalités : l’école à domicile pose question. La Libre.be. 26 mars 2020.

     

    Mon point de vue (analyse critique)Mes recherches et mon expérience lors de mes stages me permettant d'enrichir ma réponse à la question

     

    Je comprends que ce ne soit pas toujours facile pour les parents qui soit ne s’y connaissent pas du tout ou alors qui réalisent du télétravail, de suivre leur(s) enfant(s) dans leurs apprentissages scolaires.

    De plus, effectivement, tous n’ont pas forcément le matériel adéquat à domicile mais je pense que des aides ont été mises en place afin de remédier à ce souci.

     

    Ce que je retiens pour ma pratique personnelleMes recherches et mon expérience lors de mes stages me permettant d'enrichir ma réponse à la question

    Cette situation de confinement est difficile pour certains parents concernant le suivi scolaire de leur(s) enfant(s).

    Il faut tenir compte également des inégalités au niveau du matériel numérique dans les familles.

     

    Les idées reçues sur le numérique à l’école

     

    Vidéo

    Source :  5 idées reçues sur le numérique à l’école. https://www.youtube.com/watch?v=PP7jx9sOJak

    Mes recherches et mon expérience lors de mes stages me permettant d'enrichir ma réponse à la question

     

    Mon point de vue (analyse critique)


    Je suis d’accord avec les éléments présents dans la vidéo et un point m’a interpellé. C’est vrai que certaines personnes peuvent avoir des préjugés sur l’utilisation du numérique comme par exemple, si l’enfant va sur la tablette, il joue. Et je pense qu’il serait intéressant d’effacer ces préjugés. Si on donne un outil tel que le compas à l’enfant, il pourrait également jouer avec celui-ci au même titre que la tablette. Selon moi, il faut faire confiance aux enfants sur la bonne utilisation des outils que nous leur mettons à disposition.

    Mes recherches et mon expérience lors de mes stages me permettant d'enrichir ma réponse à la questionCe que je retiens pour ma pratique personnelle

    Le numérique est un outil dont on se sert quand on en a besoin.

    On n’est pas passif lorsque l’on est devant un écran.

    Dans le monde de demain, les élèves auront besoin d’une culture numérique et c’est l’école qui doit leur apporter celle-ci.


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